Lu dans la presse : « Une ligne Le Havre-Marseille qui coupe la France en deux »
Pour le géographe Manouk Borzakian, les résultats inédits de dimanche, avec la percée d’Emmanuel Macron et les avancées de Marine Le Pen, modifient le paysage politique.
Les commentaires de cartes électorales s’accompagnent parfois d’une remarque destinée à nuancer l’ensemble de l’analyse – et à donner bonne conscience à celle ou à celui qui l’écrit : attention, ce ne sont pas des départements qui votent, pas plus des communes, mais des individus, partagés entre de multiples appartenances géographiques, professionnelles, générationnelles et culturelles.
Il faut par conséquent, avant de découper mentalement les cartes de cette élection présidentielle, d’y trouver des logiques et des lignes de force, préciser que la géographie électorale, seule, n’explique rien. Et qu’accompagnée – de la sociologie, des sciences politiques, de la psychologie -, elle n’explique pas tout. Reste que les résultats à l’échelle des départements permettent quelques constatations simples.
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