Paysage de l’Atlas marocain (Setti Fatma, Maroc)
A quelques encablures d’une ville de Marrakech accablée par la chaleur de cette fin de printemps, la route vers l’Atlas représente une salvatrice bouffée d’air frais. Malgré des attitudes moyennes raisonnables, le milieu minéral, la végétation rase et la présence relictuelle de névés, des amas persistants de neige (au second plan de la photo), rappellent que la chaîne montagneuse de l’Atlas marocain compte toutefois des portions particulièrement élevées comme le sommet du Djebel Toubkal dont l’altitude culmine à plus de 4 000 mètres. Le tout, à moins de 200 kilomètres du littoral…
Yohann Benmalek
Docteur en Géographie de l’Université de Saint-Etienne
Co-fondateur et Responsable Général de l’Association Terres d’Espérance
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